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 Ludwig-Le mec qui joue du violon alors qu'il est au pouvoir parce que c'est un thug

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Ludwig Von Rosenwald

Ludwig Von Rosenwald


Messages : 2
Date d'inscription : 26/03/2016
Age : 26
Localisation : Sur la lune!

Ludwig-Le mec qui joue du violon alors qu'il est au pouvoir parce que c'est un thug Empty
MessageSujet: Ludwig-Le mec qui joue du violon alors qu'il est au pouvoir parce que c'est un thug   Ludwig-Le mec qui joue du violon alors qu'il est au pouvoir parce que c'est un thug I_icon_minitimeSam 26 Mar - 9:29

Ludwig Von Rosenwald
ft. Ferid Bathory de Owari no Seraph
Âge : 28 ans
Métier : Membre du gouvernement
Nationalité/origines : Allemande
Situation conjugale : Célibataire
Situation familiale : Fils unique (sœur décédée)
Situation financière : Très aisée, depuis des générations d'ailleurs


Taille : 1m78
Corpulence : 62,5kg
Cheveux : Long, blancs
Yeux : rouge rosé
Signe(s) distinctif(s) : Scarifications un peu partout sur les bras et les jambes, quelque cicatrices plus anciennes également visibles sur le reste de son corps
Désespéré
Solitaire
Arrogant
Misanthrope
Cynique
Colérique
Introverti
Rêveur
Mélancolique
Hypocrite
Pragmatique
Cultivé
Histoire Ludwig est né dans une famille où la proximité au pouvoir relève de la coutume. Son père était membre du gouvernement, son grand-père avant lui, et son arrière grand-père aussi. Cela remonte au temps de Kassie Grinberg, voir même avant, au temps de l'ancien monde. Enfin, c'est ce qui se dit. Le gamin avait donc, en toute logique, tout ce qu'il fallait pour bien partir dans la vie, sauf que voilà, ses yeux, ses cheveux, sa peau, pas une once de mélanine dans son organisme, un véritable désastre. Par chance, il n'est pas né à une époque qui exigeait sa mort, mais sa famille était comme déshonorée. Eugéniste de base, cette dernière se sentait salie par la venue de ce petit sous-homme dans leur arbre généalogique. Il y avait dans leur code génétique, quelque chose qui avait permis la naissance de ÇA.
Alors tel une princesse dans sa tour, Ludwig fut élevé dans une cage dorée. Pas un contact avec l'extérieur, pas une personne qu'il ne connaissait en dehors de son entourage de domestiques. C'était comme si il n'existait pas. Alors bien sur, sa famille avançait qu'il était souffrant, et que sa santé fragile ne lui permettait pas de se montrer au grand jour. Le déshonneur d'avoir un petit faiblard était moins dur à endurer que celui d'un petit singe albinos semble-il. Ses parents se montraient peu, à de rares occasions, pour dire, ce n'était même pas sa mère qui l'avait allaité durant ses premiers mois de vie. Alors pour lui, ils étaient de vagues inconnus. Pourtant, il aimait sincèrement ces vagues inconnus, comme ces gosses qui adorent pour le père Noël. Bien que la seule chose qu'ils lui ait réellement offert soit ses leçons de violon régulières. Pour l'occuper, sans doute. Il avait tout de suite adorer ça. Les premières notes produises étaient laides, il avait été déçu mais ne s'était pas laissé abattre, il avait recommencé.
Tout allait bien, jusqu'à ce qu'un jour, un nouveau bébé arrive. Elle s’appelait Katarina, et c'était une petite blonde bouclée toute joufflue, avec les yeux d'un turquoise à vous perdre les yeux. Ludwig avait 4 ans à l'époque. C'est à ce moment que ce sentiment à commencé à naître, un mélange bizarre de jalousie haineuse et d'affection fraternelle. Il sentait que les deux étaient si fortes qu'elles allaient lui déchirer le cœur. Mais qu'à cela ne tienne, il ne laisserait passer que la seconde et garderait la première tout au fond de son cœur. Il laissa donc ses parents élever Katarina sur un piédestal, la glorifier, tandis que lui n'était plus qu'un bouffon, voir un parasite. Il laissa passer la première gifle que lui donna son père, puis la seconde, la troisième, et tout les coups qui suivirent. Après tout, c'était vrai non, il voyait mal, la lumière du jour le brûlait, il était mieux dans l'ombre. Dans tout les contes, dans tout les dessins animés, l'ombre, c'était les méchants non ? Ses parents avaient raisons, en plus d'être un imparfait, il était méchant, alors que Katarina, elle, était parfaite. Il l'aimait, il était si fier d'être son grand frère, il l'enviait tellement. Puis il relativisait, il avait le violon et sa douce mélodie pour s'en sortir, il en jouait tout les jours, très souvent, et essayait de faire en sorte que son père ne lui frappe pas les mains.
C'était après tout la seule à se sentir un tant soit peu concernée par son sort, à se sentir triste pour lui. Ou peut-être l'imaginait-il ? Il ne le su jamais. Toujours est-il que quand l'incident arriva, elle n'avait rien de la petite princesse qu'il idéalisait tant. C'était son anniversaire, elle avait 8 ans, à l'époque, lui en avait 12, mais ça faisait bien longtemps que plus personne ne lui fêtait. Il avait pourtant souris, comme d'habitude, était aimable, attentionné. Mais elle s'était énervée lorsqu'il avait casser son jouet préféré sans faire exprès. Ce n'était pas de sa faute, son bras tremblait parce que papa l'avait frappé trop fort. Elle lui avait dit des choses horribles, il l'avait poussé pour qu'elle se taise, juste un peu. Sa tête avait cogné la table, elle ne bougeait plus et elle ne répondait pas quand il l’appelait. Ce fut la panique, le vertige, le vide total.
Malformation de la colonne vertébrale. C'était le verdict. « On aurait pas pu savoir avant » avait dit les médecins. La famille en deuil était dévastée. Ludwig bien plus encore. Déchiré, il était complètement déchiré. Alors bien sur, oui, il la détestait, au fond, c'était bien fait pour elle, après tout, elle n'était qu'une imparfaite, tout comme lui, alors de quel droit c'était-elle cru meilleure ? Mais d'un autre coté, il avait commis un meurtre, sur sa propre sœur, sa sœur qu'il adorait, son rayon de soleil. Il se sentait joyeux et culpabilisait pour cette joie. Il se haïssait de plus en plus. C'est à ce moment que les scarifications commencèrent. C'est aussi à ce moment que son père montra les premiers signes de folie.
En effet, le chef de famille des Von Rosenwald ne pouvait y croire. Il avait donné naissance à deux imparfaits, quelle genre de boue était son sang pour donner naissance à de tels monstres ? Il sombra alors dans les abysses  de son esprit. La folie, pure et dure. Mais personne ne s'en inquiéta. Il était noble, après tout, et la seule victime de ses actes étaient son fils, alors qui s'en souciait ? Faire éclater le scandale que l'homme si respecté avait perdu pieds ? Pourquoi faire ? Alors de ses 13ans jusqu'à ses 16 ans, le jeune Ludwig fut battu, parfois à mort, par un homme souvent ivre -bien que ce ne fut pas l'ivresse qui motivait ses actes. Les sévices allaient toujours plus loin, jusqu'à ce que le jeune garçon subisse le supplice du viol, la nuit même de l'anniversaire de ses 15 ans, ce fut la nuit la plus violente de sa vie, il y eu bien sur cette chose horrible qu'il ne connaissait pas, mais aussi les coups de ceintures, les ongles enfoncés dans le dos comme des griffes, et ce rire, ce putain de rire... C'était mal, c'était vraiment mal, mais Ludwig ne savait pas l'expliquer, c'était sale, répugnant, son corps était sale, très sale. Il lui avait frappé les mains, vraiment très fort, il n'avait pas pu jouer du violons pendants un mois à peu prêt, chaque mouvement lui faisait mal. Mais au moins après ça, son père le laissa tranquille, comme si il s'était rendu compte de lui-même qu'il était allé trop loin. C'était un peu tard, mais mieux valait maintenant que jamais.
Ludwig multiplia les scarifications pour « laver » son corps de cette infamie. Son père lui, ne pu bientôt plus dissimuler sa santé mentale décadente, il fut interné et le scandale éclata. Mais bien sur, personne ne parla du supplice du jeune garçon, qui s'en souciait ?  C'était bien plus vendeur de dire que l'homme le plus respecté du gouvernement était devenu fou à lier. Qui se souciait de ce fils que personne ne connaissait ? Ce n'était pas important. On ne chercha pas plus loin. Mais lui, il était brisé, complètement. Il ne pouvait plus jouer du violon, tout sonnait faux entre ses doigts, même sa musique était sale maintenant. Son père n'était plus là bien sure, il n'y avait plus de coups, ni de cette chose...dégoûtante. Mais sa mère était là, usant des mots comme de coups de poings, ça faisait toujours aussi mal, sauf que cette fois ça frappait l'esprit. Elle l'accusait de sa monstruosité, de la mort de sa petite sœur, de la folie de son propre père. Peut-être même était-elle jalouse que son mari se soit détourné de ses charmes pour se tourner vers ce petit imparfait. Elle lui menait une vie d'enfer, comme pour se venger.
Il se construisit alors une armure. Une armure de haine et de colère. Plus le temps passait, plus il devenait sarcastique, cynique. Il riait même. Jouait avec sa jalousie malsaine. Il détestait faire ça, il détestait parler de cette foutue nuit, mais voir les yeux de sa marâtre flamber de jalousie parce que ELLE, elle n'était plus toute jeune, ça le faisait frémir de satisfaction. Il devenait plus abominable qu'elle encore. Ce n'était pas lui, il n'était pas réellement comme ça, mais bon dieu, ça faisait tellement de bien.La jalouse maladive finit par se suicider en absorbant une dose non négligeable de mort-au-rat, Ludwig resta indifférent à cette mort. Son armure était là maintenant, il ne se sentirait plus coupable. Encore moins envers des gens qu'ils détestait. Ce n'était pas sa faute, après tout, si sa mère ne supportait pas d'être une vielle peau. Puis tout le monde cru que c'était à cause de son mari que la vielle se suicidait, alors ça n'avait aucune importance.
C'est à cette époque, à ses 18 ans, qu'il se remis enfin à jouer, une mélodie laide, pleine de haine et de cynisme, mais il commençait à la trouver belle, à lui trouver son petit charme que les mélodies niaises de son enfance n'avait pas. Par ailleurs, il ne mangeait plus beaucoup, vomissait très souvent, il était devenu comme un squelette. Il était très faible, s'évanouissait quelque fois. Mais sa force d'esprit et sa haine compensait sa faiblesse physique. Il commençait peu à peu à détester profondément le monde entier. A voir en chaque homme son violeur de père et en chaque femme son hystérique de mère. Quand aux gosses ils étaient hypocrites, et cachait le pire des démons derrière leur sourire candide.
Son entrée au gouvernement, à l'age de 23 ans ne lui posa donc aucun problème, lui qui détestait déjà le monde entier. Il travaillait la plupart du temps à domicile, en raison de son albinisme. Peu de gens connaissait son visage ou son age réel, mais tout ceux qui en avait connaissance se garder bien de parler de son albinisme ou bien de son anorexie présumée. Rendez-vous compte, après le père, le fils, ça ferait tache... On le respectait donc, plus par rapport à son nom qu'à sa propre personne, mais il appréciait tout de même. Puis il fit la connaissance d'Erika. Il la trouva tout de suite très intéressante de par sa naïveté convaincue sur la nature humaine. Quelque part, il pouvait voir un peu de son innocence perdu en elle. Un peu de sa foi en l'humanité, de son amour des autres. Tout ce que lui avait perdu en cours de route. Il voyait aussi le masque que tout deux portaient pour se protéger du monde extérieur, sauf qu'elle, elle portait bien, lui ça le blessait continuellement. En la côtoyant, il pouvait jouer les mélodies si belle de son enfance, qu'il avait lui aussi envie de croire à l'humanité même si cette foutue loi le considérait en théorie comme un indésirable et le cloîtrait chez lui. Alors il décida de lui donner un cadeau, de l'aimer d'un amour semblable qu'il n'avait jamais reçu et avait toujours voulu recevoir. De la respecter quand tout le monde s’évertuer à l'humilier. Parce que quelque part il ne voulait pas la voir devenir comme lui. Parce qu'il voulait qu'elle reste convaincue que l'humanité vaille la peine d'exister. Peut-être parce que pour la première fois aussi, il se sentait capable d'aimer quelqu'un sans se forcer. Peut-être que des fois, comme ça, même à 28 ans, on a envie que le père Noël existe.
Pseudonyme : Eno-chan
Prénom : Mali
Âge : 18 ans
Code : Parce qu'il faut pas pousser mémé dans les orties, tu imagine, code validé ~.
Commentaire :Ce forum a besoin d'un bon gros thème de malade et d’évents de ouf!
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Erika Grinberg
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Erika Grinberg


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MessageSujet: Re: Ludwig-Le mec qui joue du violon alors qu'il est au pouvoir parce que c'est un thug   Ludwig-Le mec qui joue du violon alors qu'il est au pouvoir parce que c'est un thug I_icon_minitimeSam 26 Mar - 11:41

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Trop beau *^* J'ai faillis pleurer !
JE VALIDE !!
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